(2/ )
Néolithique final
Grande jarre en terre cuite d’une hauteur de 60 cm datée de la fin du Néolithique (vers 2000 avant notre ère).
(3/ )
Haut-Empire [27 / 235]
Pied droit, chaussé d'une botte à lanières (mulleus) appartenant à une statue impériale de près de 4 mètres de haut. Le décor de la chaussure (rinceaux d’acanthes et de palmettes) est caractéristique d’un pied impérial du IIe siècle de notre ère (Trajan, Hadrien ?). En revanche, la finesse de la paroi en alliage cuivreux coulée à la cire perdue s’inscrit dans la tradition de la statuaire en bronze de Grèce archaïque et classique.
(4/ )
Néolithique moyen [- 4600/ - 3400]
Galet gravé (fines striures) provenant d’un campement saisonnier de chasseurs-cueilleurs de la fin du Paléolithique (environ 10 000 ans avant notre ère). Il a été découvert parmi des outils de pierre qui attestent des activités de chasse (Aurochs) et domestiques.
(5/ )
2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Vases gaulois en céramique fine peinte (fin de l’âge du Fer, IIe siècle avant notre ère). Les décors sont majoritairement géométriques ou zoomorphes (cervidés). Les céramistes arvernes ont eu recours à la technique de la réserve, analogue à celle de la céramique grecque à figures rouges, mais ils ont utilisé un pigment noir d’origine organique.
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Paléolithique moyen [- 300000 / - 40000]
archéologie ; paléolithique ; industrie lithique
(7/ )
Mésolithique [- 10000 / - 5500]
archéologie ; mésolithique ; industrie lithique
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Paléolithique supérieur [- 400000/ - 10000]
archéologie ; mésolithique ; industrie lithique
(9/ )
Néolithique moyen [- 4600/ - 3400]
Fragment de panse de vase à décor imprimé et petit vase à fond rond et à trois anses datant du Néolithique moyen (environ -3500). L’émergence de la céramique est une caractéristique du Néolithique.
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Age du Bronze ancien [- 2200/ - 1600]
L’âge du Bronze voit émerger toute une panoplie d’armes en alliages cuivreux. Ce poignard du Bronze ancien (-2200 à -1700) est une lame plate dont la base perforée d’œillets permet l’emmanchement.
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2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Torque ou collier d’enfant en alliage cuivreux de l’époque gauloise s’ouvrant grâce à un élément amovible. Découvert dans une sépulture autour du cou d’un enfant de 6-8 ans, il est attribué au second âge du Fer (entre le IVe et le IIIe siècle avant notre ère).
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Haut-Empire [27 / 235]
Ce gobelet en céramique sigillée aux décors en relief a servi d'urne cinéraire. Une coupe faisait office de couvercle.
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Bas-Empire [235/ 476]
Cette bouteille en céramique métallescente et ces épingles à cheveux en os à décor zoomorphe ont été découvertes dans une tombe d'adulte, au sein d’une nécropole du Haut Empire (IIe-IIIe siècle de notre ère).
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Gallo-romain [- 50 / 476]
Autel votif en roche volcanique du IIe siècle de notre ère présentant une inscription. Il figure parmi les vestiges d’un bâtiment qui hébergeait probablement une association professionnelle ou religieuse (schola).
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Mésolithique [- 10000 / - 5500]
Petits mais efficaces !
Au cours du Mésolithique (il y a 10 000 à 7 000 ans), les sociétés humaines produisent des flèches en silex, le plus souvent de formes géométriques, à des fins de chasse et de pêche. Marquée par une évolution climatique et environnementale majeure liée à la fin de la dernière glaciation et au début du réchauffement climatique, cette période voit le développement de la forêt et l’arrivée de nouveaux gibiers adaptés à ces environnements. Ces onze armatures de flèche en forme de triangles irréguliers, ou scalènes, proviennent sans doute d’un campement saisonnier de chasseurs-cueilleurs du Mésolithique moyen, il y a 8 000 ans. Ces très petits objets, produits à partir de lames ou de lamelles de silex, caractérisent l'outillage des derniers chasseurs-cueilleurs. Ils sont destinés à armer l'extrémité ou les côtés des projectiles utilisés pour la chasse, notamment des flèches. De petite taille, ils témoignent de l’extrême hableté pour produire des armes efficaces pour la chasse et la défense. Finesse et légèreté permettent une utilisation accrue face aux évènements.
Ces 11 armatures de flèche en forme de triangles irréguliers ou scalènes proviennent sans doute d’un campement saisonnier de chasseurs-cueilleurs du Mésolithique moyen, vers 6000 avant notre ère.
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Âge du Bronze [- 2200/ - 800]
Ce vase caréné en terre cuite contenait les cendres d’un homme et une épingle en alliage cuivreux. L’incinération est une pratique funéraire courante durant l’âge du Bronze (-2200 à -800).
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Âge du Bronze [- 2200/ - 800]
Alêne (poinçon) en forme de losange, pointes en alliage cuivreux et collier de perles en os de l'âge du Bronze ancien (-2200 à -1600). Ces objets ont été découverts dans la sépulture d'une femme.
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2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Mobilier provenant de deux tombes de femmes du second âge du Fer (140-90 avant notre ère). Le mobilier céramique montre l’importance accordée à la nourriture et aux objets de parure dans les rites funéraires.
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Âge du Bronze [- 2200/ - 800]
Collier de perles en ambre et perles tubulaires côtelées en or. Ces éléments ont été découverts dans la sépulture d'une femme de l’âge du Bronze. Les qualités esthétiques et la rareté de l’ambre en faisaient un produit recherché par les élites de l’âge du Bronze. Cette matière première provenait généralement du Jütland et des côtes de la mer Baltique.
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Age du Fer [- 800/ - 50]
Vase gaulois en céramique fine peinte (fin de l’âge du Fer, IIe siècle avant notre ère). Sa panse fuselée à motif de cervidé et son épaule élevée bien marquée surmontent un pied élancé. Les céramistes arvernes ont eu recours à la technique de la réserve, analogue à celle de la céramique grecque à figures rouges, mais ils ont utilisé un pigment noir d’origine organique.
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2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Vase gaulois en céramique fine peinte (fin de l’âge du Fer, IIe siècle avant notre ère). Sa panse fuselée et son épaule élevée bien marquée surmontent un pied élancé. Sa paroi interne est enduite de poix. Les céramistes arvernes ont eu recours à la technique de la réserve, analogue à celle de la céramique grecque à figures rouges, mais ils ont utilisé un pigment noir d’origine organique.
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Age du Fer [- 800/ - 50]
Ensemble de vestiges gaulois en fer : épée dans son fourreau ; fer et talon de lance ; trois fibules (broches) dont deux sont reliées par une chaînette ; anneau de ceinture à bouton ; umbo de bouclier à ailettes. L'umbo est une pièce bombée ou conique en fer ou bronze se trouvant au milieu d'un bouclier, afin de protéger la main.
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Haut-Empire [27 / 235]
Éléments métalliques d’un coffret du Haut Empire (Ier siècle avant notre ère-IIIe siècle de notre ère) : foncet de serrure ; poignée ; cinq éléments d'angles et deux éléments de charnières.
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Bas-Empire [235/ 476]
Tête de peigne ornée en forme de fronton en os, daté du IVe siècle. Toutes les dents du peigne sont cassées. Les peignes à double dentures servaient à la toilette. Les grosses dents servaient au démêlage alors que les petites étaient utilisées pour l'épouillage et le peignage.
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Age du Fer [- 800/ - 50]
Molette de potier dont le manche est en fer et la roue en os. Le manche est constitué de deux fils torsadés se séparant à deux reprises pour former un cercle. Cette molette permettait d’aposer un décor répétitif, le plus souvent stylisé, sur la panse des céramiques
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Bas-Empire [235/ 476]
Quinze perles tubulaires en ivoire du Haut-Empire. Elles ont été mises au jour dans une tombe à incinération. Durant l’Antiquité tardive, la production d'ivoirerie connaît un essor sans précédent. L’aristocratie est friande de ce produit de luxe exotique que l'on fait venir d'Afrique ou d'Inde.
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Haut-Empire [27 / 235]
Collier de perles tubulaires en or du Haut-Empire. Il a été trouvé dans une riche tombe à incinération qui contenait également des perles en ivoire. Ce collier témoigne de la prospérité de l’aristocratie terrienne du Haut-Empire.
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Haut-Empire [27 / 235]
Le visage de l’Amour
Les camées sont des objets de petites dimensions, en pierre ou en pâte de verre, présentant un décor sculpté ou moulé en léger relief. Étroitement associée au domaine de la parure, cette production fut développée par les Romains et se diffusa en Gaule dès l’époque du Haut-Empire. L’iconographie puise souvent dans le répertoire mythologique gréco-romain. Ici, l’association d’un visage enfantin aux joues pleines et d’une paire d’ailes, permet sans doute de reconnaître Éros, personnification du désir amoureux.(29/ )
Haut-Empire [27 / 235]
Étiquette rectangulaire en plomb comportant une inscription sur ses deux faces. Sa petite perforation permettait d’étiqueter la marchandise. Datée du Haut-Empire, elle a été découverte lors de la fouille d’un quartier monumental public d’Augustonemetum. De nombreux petits poids en plomb ont été découverts, témoignant d’une activité commerciale dans ce secteur de la ville.
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Haut-Empire [27 / 235]
Cette phalère (petit élément décoratif), finement décorée, ornait un harnachement de cheval. Elle date du Haut-Empire.
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Haut-Empire [27 / 235]
Plats, assiettes, cruche, coupelle, coupes à décor moulé, bols, skyphos (sorte de tasse à deux anses), la plupart en céramique sigillée présentant une estampille sur le fond ou en céramique commune claire. Les figurines sont en terre cuite blanche de l'Allier. Ces objets proviennent d’un ensemble funéraire datant du IIe siècle de notre ère. À l’époque, la population pratique la crémation « à la romaine ».
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Haut-Empire [27 / 235]
Trois pots, trois coupelles et trois cruches miniature en céramique claire, certains recouverts d’un engoble blanc. Plusieurs contenaient à l’origine des végétaux (fèves, orge vêtue, noyau d'églantier) qui attestent la pratique d’un repas funéraire. En effet, ces objets proviennent d’un ensemble funéraire datant du IIe siècle de notre ère. À l’époque, la population pratique la crémation « à la romaine ».
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Bas-Empire [235/ 476]
Trois pots, trois coupelles et trois cruches miniature en céramique claire, certains recouverts d’un engobe blanc. Plusieurs contenaient à l’origine des végétaux (fèves, orge vêtue, noyau d'églantier) qui attestent la pratique d’un repas funéraire. En effet, ces objets proviennent d’un ensemble funéraire datant du IIe siècle de notre ère. À l’époque, la population pratique la crémation « à la romaine ».