(1/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Aumonière composée de neuf éléments de cuir : le dos et sa doublure, un rabat,
une plaque avant en forme de croissant aux pointes tronquées, deux petits triangles aux pointes tronqués montés sur la plaque avant, un insert entre ces deux pièces, un bord à cheval et un passepoil. Le décor est constitué de quatre lignes parallèles délimitant une côte centrale sur le rabat. Une agrafe métallique permettait la fermeture.
(2/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure haute d'enfant, pied gauche, fermée par deux lacets. Le dessus est constitué de six éléments : une tige enveloppant le pied, un élément quadrangulaire, une languette et un bracelet (disparus), un contrefort et un lacet bifide. La semelle n'est pas usée.
(3/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure basse, peut-être pied gauche, constituée de huit éléments : empeigne ouverte suivant l'axe avant du pied, deux demi-quartiers, une languette, un contrefort, un bracelet et deux pattes. Le système de fermeture et la semelle n'ont pas été conservés.
(4/ )
Gallo-romain [- 50 / 476]
Stèle en rectangle allongé. Il manque le sommet, le côté droit et le bas des jambes du personnage à l’extrême gauche. Le linteau de la stèle, encore en place en 1995, a disparu depuis, ainsi que la tête du personnage à l’extrême droite. L’ensemble est usé, en particulier les visages. Traces de pointe et de gradine.
Niche à linteau droit et fond plat. Le montant n’a pas de décor. Quatre personnages, en bas relief, sont debout et plus ou moins de face. A l’extrême gauche un homme est légèrement tourné vers la droite et hanché à gauche avec la jambe droite fléchie. Il porte une tunique, au col au ras du cou, qui le couvre jusqu’au milieu des mollets, avec de larges plis verticaux. Par-dessus est posée un manteau long à capuchon de type paenula, avec des plis en V sur la poitrine et droits dans le bas. Il tient une cassette à tablettes dans la main gauche et la droite tient un pan du manteau. A côté de lui figure une femme, hanchée à droite, aux épaules étroites portant une tunique longue qui descend jusqu’au haut des chevilles. Le col est au ras du cou et les manches longues. Ses épaules sont couvertes d’une large draperie de la même longueur, avec des plis obliques. Son bras droit replié relève le côté de ce vêtement et la main droite tient une mappa. La main gauche tient la droite de sa voisine. Celle-ci, hanchée à droite, est vêtue de la même manière. A l’extrême droite est placé un homme, hanché à gauche, qui regarde vers la gauche. Sa tête est ronde et sa coiffure courte. Sa tunique descend jusqu’au milieu des mollets avec des plis droits. Il porte aussi une paenula, avec des plis en V, qui forme un bourrelet traversant l’abdomen. Son bras droit, replié contre la poitrine, a la main qui tient un pan du manteau.
La stèle funéraire concerne deux couples. La largeur insuffisante du monument a obligé le sculpteur à réduire la largeur des deux femmes, en particulier celle de gauche. Le canon de l’homme de droite est de 6,5. M.-R. Ormasti date la stèle de la première moitié du IIe siècle, en raison de l’allongement des personnages, mais cette particularité est plutôt utilisée à la fin de ce siècle.
(5/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Aumonière composée de neuf éléments de cuir : le dos et sa doublure, un rabat, une plaque avant en forme de croissant aux pointes tronquées, deux petits triangles aux pointes tronqués montés sur la plaque avant, un insert entre ces deux pièces, un bord à cheval et un passepoil. Des perforations semblent indiquer la présence d'un décor brodé disparu. Une agrafe métallique permet la fermeture.
4è quart du XVe siècle- début XVIe siècle.
(6/ )
2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Découvert dans une tombe à inhumation, il était généralement l'attribut d'une femme. Le défunt portait à l'avant-bras gauche se bracelet en verre retrouvé intact. Le caractère trop fragmentaire du squelette n'a pas permis de distinguer avec assurance le sexe de l'individu. Ne possédant pas de soudure, comme c'est toujours le cas à cette époque, il a été réalisé par étirement d'une masse vitreuse. Un décor formant un relief cranté se développe sur le pourtour externe. En lorraine, des bracelets appartenant à la même famille ont été retrouvés à Liverdun, Villey-Saint-Etienne et Woippy.
(7/ )
2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Découverte dans une tombe à incinération de guerrier datée du 2ème siècle av. J.-C., cette lance en fer était calée entre l'urne et la paroi de l'excavation. A ses côtés se trouvaient un umbo de bouclier et des fragments en tôle de fer du fourreau d'une épée. Cette lance, à mettre probablement en lien avec un talon retrouvé dans le même contexte, présente une flamme foliacée et une forte nervur axiale. Elle venait s'emmancher à douille et rivets, dont on voit encore les trous sur l'embouchure. La longueur et la largeur de la pointe permettent de penser qu'il s'agit bien d'une lance, arme d'estoc gardé en main au cours du combat.
(8/ )
2nd âge du Fer [- 480/ - 50]
Umbo découvert dans le même contexte que la lance de Mondelange. Constitué d'une coque ovoide, des ailettes rectangulaires percées de trous complètent cet objet. Des petits rivets servaient à maintenir l'umbo sur la surface du bouclier. La forme de cette pièce est typique de la Tène C2 (180-130 avant notre ère). Volontairement plié, cet umbo a sans doute joué un rôle symbolique et rituel dans le cadre de l'ensevelissement du défunt. Ce genre de dégradation s'inscrit dans un contexte de bris sacrificiel des armes constaté, à cette époque, dans les sanctuaires et dans les tombes.
(9/ )
Epoque contemporaine [1789 / nos jours]
Assiette creuse à décor végétal en camaieu brun. Le fond est décoré d'une fleur seule. L'aile présente quatre décors de fleurs entoures d'un bouquet de feuilles. Un décor géométrique constitué de cinq points répartis sur et autour d'une croix sépare chaque décor floral secondaire présent sur l'aile.
(10/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure gauche d'enfant fermée par un bouton noué en cuir. Le quartier manque.
(11/ )
Moyen Âge classique [1000/ 1300]
"Bouteille à panse globulaire et fond en ombilic. Elle est décorée d'une résille de filets grossiers sur la panse. Son goulot est large, à lèvre très évasée."
(12/ )
Bas Moyen Âge [1300/ 1492]
Coupe soufflée moulée à côtes saillantes pincées. Tige pleine et fine. Pied cannelé. "Dans la famille des verres à tige, un groupe bien attesté au Nord de la Loire reprend le décor côtelé déjà rencontré sur les gobelets trapus. Remarquablement illustré par ce verre, ce groupe place une coupe évasée et ornée de côtes saillantes reprises à la pince sur une jambe élancée, formée d'une fine tige de verre plein, elle-même liée à chaud à un pied conique, ici cannelé."
(13/ )
Bas Moyen Âge [1300/ 1492]
"Coupe en verre soufflé moulé à décor de petits points et rosace de pétales. La base est soulignée par un cordon de verre pincé. Tige torsadée ornée d'un tour de filet de verre. Pied discoïde." Archéologie et usages du verre, Cat.114. "Avec sa coupe en forme de calice orné par moulage d'un réseau de petits points et de pétales, l'exemple n°114 se rattache une série bien connue de verres produits dans les ateliers argonnais de Pairupt (commune de Lachalade, 55) et des Bercettes. La palette assez limitée des décors s'obtient par soufflage de la matière dans un moule ouvert.
(14/ )
Moyen Âge classique [1000/ 1300]
" Verre soufflé moulé à décor alternant dépressions et côtes (coupe). Verre soufflé moulé à décor de côtes torses (tige et pied)."
(15/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Flacon à panse en forme de bulle aplatie latéralement et à long col. Le fond est refoulé.
(16/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor gaufré. Fond profondément refoulé. "Découverts à Metz, ces verres illustrent la coexistence sur le marché lorrain de la Renaissance de productions verrières de traditions différentes. Les trois premiers (cat.120 à122) attestent la diffusion en Lorraine des productions des forêts allemandes. Les gobelets gaufrés à fond refoulé (cat.120) sont bien connus dans la vallée du Rhin jusqu'au début du 16e siècle, où ils ont parfois été utilisés comme reliquaire (maigelen)."
(17/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Coupe soufflée moulée à décor de côtes, dont huit sont pincées et se rejoignent. Piédouche bas et refoulé. "Ce gobelet en verre grisâtre, très légèrement irisé du fait de son enfouissement, est l'un des plus beaux représentants de ces verres sur piédouche très prisés à la Renaissance. Si ce très bel objet propose une déclinaison originale du décor côtelé, les exemples qui suivent illustrent la diversité de la palette ornementale de ce groupe."
(18/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Petit flacon à panse globulaire aplatie à sa base. Le fond est profondément refoulé. Le col est large et son bord est irrégulier. Lacunes importantes.
(19/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre gris soufflé (coupe campaniforme complètement disparue).
(20/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre à pied dont seul le pied est intact, en forme de pavillon bordé d'un bourrelet festonné. A la base de la panse, conique semble-t-il, se trouve un bourrelet ondulé rapporté. Trois tessons de panse sont décorés de deux lignes horizontales et d'oves verticaux en vere blanc rapporté. Sur le pied, le décor de lignes blanches verticales est inclus dans la pâte, en alternance avec la pâte transparente. Verre "façon Venise".
(21/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor côtelé. "La forme sphérique de cet objet pose quelques difficultés en terme d'identification. Si plusieurs parallèles sont connus, aucun n'a été découvert complet. Il pourrait s'agir d'une boule à parfum ou de la partie inférieure d'un vase couronné d'un col long et fin "
(22/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Panse d'une fiole de forme globuleuse aplatie à fond en ombilic, décorée de nervures verticales partant de la base du col. Ce dernier a disparu.
(23/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
12 fragments d'un verre (à pied?) à coupe conique très haute. Près du bord, deux filets rapportés et à la base, deux éléments formés par des rubans de pâte rapportée.
(24/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Pied de verre à base circulaire, dont la tige est composée de deux torsades et deux figures animales, ressemblant à des hippocampes, opposées deux à deux. Au-dessus de la tige, le verre est cassé au-dessus d'un bourrelet fin.
(25/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor émaillé d'oves, de ponts et de filets. Inscription "VS M Q J". Pied lié à la coupe par un bouton cannelé creux.
(26/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre campaniforme à pied "façon Venise" incolore soufflé moulé. Pied lié à la coupe par un bouton creux orné de têtes de lion et de rosettes "Inspiré des productions vénitiennes, ce verre est l'un des plus beaux représentants de cette émulation qui gagna ateliers du Nord de l'Europe et ateliers italiens à la fin de la Renaissance. Cette jambe ornée d'un bouton creux moulé pour épouser les traits d'un lion plaisait alors beaucoup, au point de se retrouver sur toutes les bonnes tables européennes. Le mode de fabrication s'appuyant sur plusieurs paraisons distinctes, il était possile de trouver au-dessus de ses jambes des coupes de différentes formes.
(27/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Flacon à goulot sphérique se rétrecissant vers le haut. Fond en léger ombilic. La panse semble avoir été côtelée à décor de pastilles blanches.
(28/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre campaniforme à pied incolore soufflé moulé. Pied lié à la coupe par un bouton côtelé creux entre deux bourrelets. "De belle taille, ces verres à boire ont été fabriqués grâce à deux ou trois paraisons distinctes avant d'être assemblés à chaud. Témoignant d'une belle évolution du répertoire verrier à partir de la seconde moitié du 16e siècle, les jambes de ces verres se font désormais le support privilégié d'une ornementation souvent inspirée des catalogues vénitiens et parfois complétée par un décor émaillé, d'inspiration française."
(29/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Gobelet haut à coupe tronconique sur piédouche.
(30/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Bouteille en forme de parallellépipède se rétrecissant vers la base. Le fond est en ombilic. L'épaule est très marquée Le goulot cylindrique à un bord plat légèrement éversé. Il manque une partie de la panse et le haut du goulot.
(31/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé à décor de pastilles saillantes en verre bleu. Piédouche ajouré formé de fils de verre.
(32/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Gobelet à panse côtelée et fond en ombilic, de couleur blanc verdâtre, très oxydé.
(33/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Gobelet cylindrique à 8 côtes verticales très saillantes dans la moitié inférieure de la panse. Fond en omblic.
(34/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor côtelé et gaufré. Pied refoulé.
(35/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre à pied bitronconique dont le verre est soufflé à mince filet de verre rapporté. Pied refoulé.
(36/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre grisâtre soufflé moulé à décor de côtes torses. Pied refoulé.
(37/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre à pied. La coupe tronconique, très mince, est décorée à sa base d'un anneau creux largement débordant. Le pied conique à un bord ourlé. On voit des traces de pointil. La coupe est très morcelée avec d'importantes lacunes.
(38/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé à décor de fines côtes torses, fond ombiliqué et anse rapportée. (La partie supérieure du gobelet manque).
(39/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Boule creuse montée sur un "anneau" avec traces d'arrachement. Probablement un bouton de préhension d'un couvercle.
(40/ )
Gallo-romain [- 50 / 476]
Peigne fin à double denture. Les deux extrémités se terminent en pointe vers l'extérieur. Un décor gravé de lignes droites apparaît sur la partie centrale de l'objet.
(42/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure haute atteignant les malléoles,composée de cinq éléments et d'une semelle, initialement fermée par deux boucles sur l'empeigne et le demi-quartier (disparues).
(43/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure gauche d'enfant, fermée par deux boucles (disparues) sur l'avant-pied. Atteignant les malléoles, cette chaussure haute était composée de six éléments (empeigne, deux demi-quartiers, languette et bracelet -disparus-, contrefort).
(44/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure droite d'enfant fermée par un laçage sur l'avant pied. Dessus constitué d'une pièce fermée par une couture latérale. Arrière renforcé par un contrefort. Fermeture par laçage sur l'avant du pied. Semelage réalisé suivant le principe du cousu sandalette.
(45/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Aumonière composée de neuf éléments de cuir : le dos et sa doublure, un rabat, une plaque avant en forme de croissant aux pointes tronquées, deux petits triangles aux pointes tronqués montés sur la plaque avant, un insert entre ces deux pièces, un bord à cheval et un passepoil. Le décor est constitué de quatre lignes parallèles délimitant une côte centrale sur le rabat. Une agrafe métallique permettait la fermeture.
(46/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure gauche complète, avec ouverture sur l'avant-pied, composée de neuf éléments : la tige, une pièce triangulaire, un bracelet, un contrefort, deux boucles avec leur porte-boucles (une boucle disparue), deux brides (une disparue), une languette.
(47/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure basse ouverte sur l'avant pied, fermée par un système de bouclage sur la claque. Le patin, une partie du quartier et le bracelet manquent. La boucle en 8 est conservée.
(48/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Sifflet en forme de cavalier recouvert d'une engobe blanche. La tête du personnage, probablement un page, a disparu. Il porte des gants, un pourpoint à manches à crevés et des culottes bouffantes. On voit une perforation sous l'aisselle droite et à la place de la queue du cheval. Une trace de glaçure est visible sur la patte avant droite du cheval.
(49/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Figurine de sanglier dont les pattes et une partie du museau manquent. Le dos est arqué et la toison est représentée par de courtes incisions. La glaçure verte recouvre le corps à l'exception de la partie postérieure.
(50/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre noir soufflé moulé, pied refoulé.
(51/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor de côtes et cordon horizontal pincés. Pieds et anses rapportés et travaillés à la pince. "Habituellement faits de terre cuite, les tripodes sont des marmites pourvues de trois pieds pour être stables lorsqu'ils sont placés dans le foyer. Leur transposition en verre pose d'autant plus question qu'elle est rare : seuls quelques exemples ont été découverts à Metz, un seul est connu en Allemagne". (Archéologie et usages du verre, p.99).
(52/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor de losanges et filets travaillés à la pince. Fond refoulé souligné par un cordon de verre.
(53/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor de côtes verticales. Pied refoulé.
(54/ )
Moyen Âge [476 / 1492]
Pichet à panse ovale (diamètre maximal en son centre). Col légèrement évasé, anse ronde rattachée à la panse au-dessus de son diamètre maximal. Pied pincé.
(55/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Récipient en verre de forme cylindrique étranglée dans sa partie médiane. Le bors supérieur est éversé.
(56/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Coupe en verre soufflé, liée au pied par un bouton côtelé creux.
(57/ )
Moyen Âge classique [1000/ 1300]
Gobelet à décor de côtes droites reprises à la pince à leurs extrémités inférieures.
(58/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Coupe en verre soufflé, liée au pied par un bouton côtelé creux et deux bourrelets.
(59/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Verre soufflé moulé à décor de losanges pointés. Pied refoulé.
(60/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Coupe d'un verre à pied à décor moulé vers le bas (petits losanges imbriqués). Par transparence, on voit un réseau de craquelures.
(61/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Chaussure avec semelle en bois et bride de cuir couvrant l'avant du pied. Il s'agit d'une sorte de socque permettant de parcourir les rues boueuses sans salir ses souliers d'intérieur.
(62/ )
Bas Moyen Âge [1300/ 1492]
Pot globulaire à fond plat comportant un décor de stries sur la panse. La paroi intérieure comporte des traces de tournage. La pâte comporte des inclusions de chaux de petit diamètre (1 mm max.) et a subi une cuisson réductrice. Du plâtre peint a été utilisé pour compléter l'objet.
(66/ )
Epoque moderne [1492 / 1789]
Coupe soufflée moulée sur une jambe serpentiforme formée d'un tube de verre torsiné et d'ailerons en verre. "La mise en oeuvre si délicate du matériau verre illustrée par ces deux jambes évoque à nouveau une fabrication à la façon vénitienne. Si les fouilles messines n'en ont livré que 2 exemples, les découvertes nombreuses dans d'autres villes européennes semblent indiquer que l'usage de ces verres à boire n'était pas seulement réservé à la table des familles aisées."
(67/ )
Gallo-romain [- 50 / 476]
Fragments d'enduits peints ocre, rouge et mordoré à bandes horizontales et liserés verticaux.
(68/ )
Bas Moyen Âge [1300/ 1492]
Enseigne de pèlerinage avec un pélican ; sanctuaire non identifié.