Expositions Jeunesse

Laisse toi te guider par Gabriel et Mia dans la découverte du monde des dieux et déesses durant l'antiquité...
Bonne découverte
À l'époque gallo-romaine, les populations qui habitaient la Gaule ont ajouté à leurs habitudes celles des Romains qui ont conquis le territoire. Pour connaître la manière dont ces populations vivaient, les archéologues étudient les traces laissées par elles dans le sol : des objets, mais aussi des restes de bâtiments ou de routes, et même des graines ou des os d'animaux. Le repas était une partie importante de la vie des Gallo-romains, comme aujourd'hui.
Grâce à l'archéologie, on peut répondre à de nombreuses questions à son sujet :
Comment était produite la nourriture ?
Où l'achetait-on ?
Que mangeait-on ?
Comment faisait-on la cuisine ?
Comment prenait-on les repas ?

Au fait c'est quand l'époque gallo-romaine ?

Expositions thématiques

Quelles étaient les pratiques funéraires des humains à la fin de la Préhistoire ? Pourquoi les Gaulois ont-ils creusé des souterrains ? Comment un manoir breton peut-il disparaître de la mémoire collective ? Autant de questions auxquelles l'exposition À Trémuson, l'histoire vous regarde ! entend répondre.
⏵Adaptée en version numérique, elle fait écho à l'exposition réalisée entre le 21 septembre et le 1er décembre 2024 à la médiathèque Graine de Culture de Trémuson (22). 
Le saviez-vous ?
Il est désormais possible de jouer comme autrefois. Locus Ludi est un groupe de recherche pluridisciplinaire européen qui étudie et reconstitue des jeux antiques que l'on peut tester en ligne. Il est également possible aujourd’hui d'écouter le son d'une flûte aurignacienne grâce à l'archéologie expérimentale.

Ces exemples extraordinaires de reconstitutions archéologiques montrent que le jeu, musical ou ludique, est un objet d'étude particulièrement riche. L’interprétation des vestiges permet d’en deviner les règles, mais ne permet que d’imaginer les multiples façons de jouer aux différentes époques.

Cette exposition souhaite introduire la diversité des artefacts liés à ces jeux, issus des fouilles de l'Inrap, et la façon dont ils renouvellent notre compréhension des cultures ludiques et musicales à travers le temps.  
Cette exposition consacrée aux pratiques et aux représentations de la violence à travers les siècles, présente une sélection de vingt-trois objets issus de fouilles archéologiques préventives menées par l'Inrap au cours des dernières années. Provenant de différents gisements, ces objets témoignent de la richesse, de la diversité et de la complexité de notre rapport à la violence.

Nous vous invitons à les découvrir !
Dès son apparition, l’homme est au contact de l’animal avec qui il partage le même lieu de vie. Il est essentiel à sa survie en lui procurant nourriture et moyens de couvrir ses besoins du quotidien, comme la fabrication d’outils en os. Au début du Néolithique (de 6 000 à 2 200 av. J.-C. en France), la domestication de certaines espèces modifie les rapports entre l’homme et l’animal : il devient une ressource plus large et maîtrisée et leur relation est alors plus intime. Le rapport avec l’animal est aussi plus profond : l’homme le contemple à l’état sauvage, admire sa rareté, ses qualités et fantasme ses vertus. L’animal est tantôt observé tantôt imaginé et même divinisé.
Cette exposition vous offre un panorama des liens les plus divers que l’homme et les bêtes de tout poil (mais aussi de plumes et d’écailles) ont entretenus et entretiennent parfois encore. Des relations étroites qui témoignent d’une dette importante de l’homme envers la faune qu’il côtoie.
L’archéologie est-elle uniquement une affaire de cailloux ? Ne vous fiez pas aux apparences. Les objets mis au jour lors des fouilles qui apparaissent comme de simples pierres révèlent bien souvent une réalité plus complexe. Le matériau minéral, travaillé ou transformé, est exploité sous différentes formes et pour une variété d’usages. Il témoigne de la vie des sociétés passées, de l’exploitation des ressources naturelles, des évolutions technologiques, du commerce, des croyances religieuses ou encore des préoccupations esthétiques des populations. Tantôt outils, matériaux de construction, tantôt supports d’expression artistique ou éléments de parure, nous vous invitons à découvrir les multiples facettes des cailloux découverts par les archéologues et qui sont autant d’objets à étudier, de la Préhistoire à l’époque contemporaine.
Creuser, défricher, construire des routes, des ponts, des villes : de tout temps, les hommes n'ont cessé d'explorer les possibilités d'aménagement de leur territoire. À travers une sélection de 30 objets issus de fouilles préventives menées par l'Inrap en Bretagne autour de Corseul (Côtes d'Armor) et de collections anciennes, cette exposition vous propose un focus sur la voie romaine, vecteur essentiel de la vie économique des territoires durant l'Antiquité.

À cette époque, un vaste réseau routier est mis en place à l'échelle de l'Empire romain. Connecté à des voies fluviales et maritimes, il favorise échanges et commerce et permet la diffusion de modes et pratiques culturelles.
Qu'est-ce qu'un visage ? Un nez, une bouche, deux yeux : tels sont les éléments qui le composent, ainsi qu'on l'enseigne aux jeunes enfants. Au cours de fouilles archéologiques, de nombreux visages ont été mis au jour. Ils révèlent la fascination des sociétés au travers des âges pour cette partie du corps, à laquelle différentes significations ont été données.

Portrait réaliste, simple ébauche ou encore masque, la réalité du visage est tantôt reproduite, tantôt questionnée, au gré de croyances religieuses et de pratiques sociales.
Bagues, colliers, torques, pendentifs, fibules… Des éléments de parure sont fréquemment mis au jour dans des contextes funéraires. Ils permettent de mieux connaître les pratiques liées aux rituels entourant la mort à différentes époques. Richement ouvragés, ils traduisent le rang et le statut de leurs propriétaires et témoignent des savoir-faire des artisans et des modes au travers des siècles. Or, ivoire, verre, ambre, grenats… depuis l’âge du Bronze, les élites sont à recherche de matériaux rares et précieux transformés en objets de prestige.
Loin d'être figée dans le temps et l'espace, l'architecture conjugue plusieurs buts qui vont, comme le rappelait déjà Vitruve dans son "De architectura" au Ier siècle avant J.-C., de la recherche de la solidité à la commodité et à la beauté. Sans doute pourrait-on aujourd'hui y ajouter la volonté d'établir des constructions à même d'assurer la conservation et la transmission des productions passées. Cette exposition propose d'aborder ce vaste sujet au travers de quatre volets :
Les matériaux et des outils de construction :
Les techniques du décor
Les fonctionnalités du bâti
L'architecture funéraire et de mémoire
Marseille est la seule ville de France à pouvoir revendiquer vingt-six siècles d’histoire urbaine continue. Chaque période d’occupation a en partie recouvert celle qui l’a précédée. L’histoire de Marseille est donc à dénicher dans le sous-sol avec les découvertes archéologiques d'occupation préhistorique, les fouilles de site de l'Antiquité, du Moyen Âge et de l'Époque moderne.

Vous pouvez également découvrir l'atlas archéologique

ATLAS ARCHÉOLOGIQUE DE LA VILLE DE MARSEILLE
Depuis plus de trente ans, l’archéologie préventive a permis, par le nombre de fouilles et leur étendue, d’ouvrir de nombreuses fenêtres sur le passé de Clermont-Ferrand et du bassin clermontois. Une sélection d’objets atteste les métamorphoses et les continuités de ce territoire : outils des chasseurs d’aurochs du Paléolithique, objets du quotidien du Néolithique, élégantes céramiques arvernes, étiquettes de marchandise d’Augustonemetum (Clermont-Ferrand)...

Lieux d'exposition

Riche de plus de 30 000 objets, le musée de Saint-Dizier présente un parcours centré autour des collections archéologiques, de fontes d’art, d’ornithologie et de peinture. Elles illustrent chacune les principales découvertes archéologiques réalisées sur le territoire et notamment trois tombes aristocratique franques découvertes en 2002, le riche passé métallurgique de la Haute-Marne, et les œuvres en fonte d’Hector Guimard et la personnalité de Jean-François Lescuyer, ornithologue amateur de Saint-Dizier qui a rassemblée une collection d’oiseau naturalisé unique en son genre.
https://www.louvre.fr
Au cœur de la ville du Mans, à la jonction entre la Cité Plantagenêt et la ville nouvelle, se trouve le musée d’archéologie et d’histoire. Le musée est un espace ouvert et accueillant, conciliant une architecture résolument contemporaine et la préservation des anciens bâtiments de l’imprimerie Monnoyer aujourd’hui rénovés. A travers le parcours des collections permanentes, le visiteur découvre l’histoire du territoire sarthois depuis la préhistoire jusqu’à la fin du moyen-âge en cinq chapitres. Riche d’objets archéologiques conservés pour certains depuis le XIXe siècle ou suite aux fouilles réalisées sur le territoire depuis les années 1970, le visiteur découvre les modes de vie de nos ancêtres .
Fondé en 1839, le musée de La Cour d’Or-Metz Métropole est situé à proximité de la cathédrale Saint-Étienne, en plein cœur de Metz, dans un ensemble constitué des anciens thermes romains datés du IIe siècle, du grenier de Chèvremont de 1457 et de l’ancienne abbaye des Petits-Carmes du XVIIe siècle. 

L’établissement réunit des collections archéologiques, médiévales et de Beaux-arts sur plus de 6 000 m2. Il a été jusqu’à la fin des années 1980 le lieu de dépôt naturel du mobilier des fouilles réalisées à Metz et sur le territoire par les érudits du XIXe siècle, les savants allemands des deux Annexions, ainsi que les archéologues de l’Afan, puis de l’Inrap.

Ainsi, plus de 20 000 objets archéologiques sont aujourd’hui conservés au musée de La Cour d’Or, en faisant une des collections les plus riches du nord de la France. A travers 16 salles – sur les 46 que compte le musée – est évoqué l’évolution et l’histoire du territoire mosellan au cours de l’Antiquité.

2, rue du Haut-Poirier 57000 METZ
0387201320
http://musee.metzmetropole.fr/fr/
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Situé sur l’avenue de Champagne, artère prestigieuse d’Epernay, le musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale raconte l’histoire du territoire champenois, depuis la formation de son sol il y a plusieurs millions d’années jusqu’à nos jours. Il réunit des collections d’envergure internationale au cœur d’une scénographie moderne et interactive adaptée à tous les publics. La visite débute par l’histoire géologique et paléontologique de la région. Elle se poursuit par l’histoire de l’implantation humaine en Champagne, illustrée par une riche sélection de pièces archéologiques régionales menant le visiteur des sépultures du Néolithique aux orfèvres de la société mérovingienne, en passant par les exceptionnelles parures celtes et les poteries gallo-romaines. Le parcours se consacre ensuite au vin de Champagne, patrimoine régional et fleuron de l’économie française. Traversant une dizaine de salles, le visiteur découvre un important fonds viticole composé d’outils, machines, verreries, tableaux, lithographies, affiches et plaques publicitaires retraçant l’évolution des modes de production et de consommation de cette boisson iconique. La visite s’achève par un hommage à des personnalités locales, collectionneurs du XIXe siècle et de la Belle Epoque ayant légué au musée peintures, sculptures, objets d’arts décoratifs et curiosités ethnographiques provenant du monde entier. Offrant un écrin architectural et paysager exceptionnel aux 2000 objets exposés, le Château Perrier, monument historique et ancienne demeure de négociants en champagne, se laisse également découvrir au fil de la visite.
Ce qui frappe avant tout en entrant dans le musée, c’est l’architecture singulière, amalgame d’une halle aux grains construite au XIXe siècle et d’une structure en béton brut façon « musée à croissance illimitée », concept inventé par Le Corbusier. Les deux architectures dialoguent, tout comme les collections d’archéologie et les collections beaux-arts.

S’inscrivant dans le paysage culturel français et international, la plus ancienne collection publique de France, née en 1694, peut s’enorgueillir de la richesse de ses collections. Outre la renommée internationale de sa collection d’art graphique (plus de 6000 dessins), il dispose d’un important patrimoine archéologique local, méditerranéen et égyptien, de nombreuses sculptures, céramiques, pièces d’orfèvrerie et d’une exceptionnelle collection de peintures représentative des principaux courants de l’histoire de l’art occidental de la fin du XVe au XXe siècle.

Laissez-vous surprendre par le musée des beaux-arts et d’archéologie de Besançon, l’un des musées les plus atypiques de France.
À l'occasion de l'exposition « Celtique ? » au Musée de Bretagne-les Champs libres [Rennes], quatre bustes sculptés et un seau en bois ouvragé de l'âge du Fer, découverts à Trémuson en septembre 2019, sont pour la première fois présentés au public. Cinq chercheurs de l'institut racontent l'itinéraire de ces objets exceptionnels de la fouille au musée en passant par le laboratoire.

Lire article sur inrap.fr
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Musée de Bretagne, les Champs libres 10 cours des Alliés, 35000 Rennes
Situé dans le vieux Lyon, Gadagne abrite deux musées : le Musée d’histoire de Lyon (MHL) et le Musée des arts de la marionnette (MAM).

Le MHL ‑ Gadagne vous invite à découvrir l’histoire de Lyon en suivant 4 expositions. "Portraits de Lyon" donne des points de repère essentiels pour comprendre la ville contemporaine. Accessible à tous publics à partir de 5 ans, "Les Pieds dans l'eau" raconte l’histoire des habitants et de leurs cours d’eau, à la lumière des enjeux environnementaux. Le 17 novembre 2022 : découvrez la nouvelle exposition du musée autour de l’industrie et de la mémoire ouvrière. 

Unique musée de France avec une collection internationale, le MAM - Gadagne réunit plus de 300 marionnettes, costumes, décors d’Europe, Asie, d’Afrique et d’Amérique. De nombreuses œuvres proviennent de compagnies contemporaines en activité, ce qui donne au musée un côté très moderne et ludique. On y adopte le point de vue des artistes et on peut s’essayer à la manipulation en fin de parcours. Dans la ville de Guignol, une visite essentielle à ne pas manquer !
Dans une architecture audacieuse de Jean Nouvel, le site-musée Vesunna présente les origines romaines de Périgueux sur les vestiges d’une grande demeure gallo-romaine, la domus de Vésone. D’exceptionnelles collections archéologiques racontent la ville antique et les modes de vie de ses habitants, les Pétrucores.
Le musée de site archéologique de Mariana – Prince Rainier III de Monaco, conçu par l'architecte Pierre-Louis Faloci, ouvre le regard sur l'église romane de la Canonica. Il a vocation à favoriser la recherche, conserver et valoriser ses collections et son patrimoine archéologique afin de diffuser auprès de tous les publics l'histoire du territoire de Mariana, depuis la cité portuaire antique jusqu'à l'évêché médiéval.
LUGDUNUM-Musée & théâtres romains est la symbiose parfaite entre un site archéologique intégré dans le périmètre classé par l'Unesco, une architecture unique et des collections exceptionnelles.
C'est au 18éme siècle que le site archéologique de Lezoux révèle l'histoire étonnante d'un passé prodigieux. Le musée de la céramique conte l'histoire du travail des potiers de l'Antiquité à nos jours.
Installé dans une ancienne fabrique superbement réhabilitée, Lezoux s’est doté d’un lieu de mémoire à la hauteur son patrimoine archéologique.
Situé dans un bâtiment néoclassique inauguré en 1903 au cœur de la ville de Clermont-Ferrand, le musée Bargoin propose des collections particulièrement riches et originales. Il abrite deux départements : l'un consacré à l'archéologie et l'autre aux textiles.

Adresse : 45 Rue Ballainvilliers, 63000 Clermont-Ferrand
e Musée de Sens se situe dans la ville de Sens dans le département français de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté. Créé au milieu du XIXe siècle, il accueille aujourd'hui une vaste collection d'objets et d'œuvres de toutes les époques et rassemble les collections de la Société archéologique de Sens, des donations et le trésor de la cathédrale Saint-Étienne de Sens.

Les musée est installé depuis 1985 dans l'ancien palais des archevêques de Sens qui jouxte la cathédrale et le palais synodal.

Musées de Sens
Passage Moïse et 135 rue des Déportés et de la Résistance
89100 Sens
La galerie muséale bénéficie du soutien de la Fondation Gandur pour l'Art
Réalisé par idéesculture